L’ange de l’histoire par Rabih Alameddine

Synopsis:

Le portrait bouleversant et tout en finesse d’un homme hanté par les souvenirs et par deux voix, celles de Satan et de la Mort, qui se disputent son âme.

Le temps d’une nuit, dans la salle d’attente d’un hôpital psychiatrique, Jacob, poète d’origine yéménite, revient sur les événements qui ont marqué sa vie : son enfance dans un bordel égyptien, son adolescence sous l’égide d’un père fortuné, puis sa vie d’adulte homosexuel à San Francisco dans les années 1980, point culminant de l’épidémie du sida. Mais Jacob n’est pas seul : Satan et la Mort se livrent un duel et se disputent son âme, l’un le forçant à se remémorer son passé douloureux, l’autre le poussant à oublier et à renoncer à la vie.

 Mon avis:

Un style qui nous sort de nos habitudes. On aime ou on déteste, car c’est avant tout une introspection sur un homme à la dérive qui nous retrace une vie tumultueuse des bas-fonds de son enfance, à ses années Sida et la perte de ses proches…  Jacob, poète est à la limite de la schizophrénie, car le Malin lui parle.

En effet, l’auteur nous offre plusieurs points de vue : celui de Jacob et de ses ressentis, mais aussi celui de la Mort et de Satan qui l’attendent dans le salon de son appartement… On alterne notre lecture entre souvenirs de Jacob et sur l’âme de celui-ci selon ces deux êtres célestes…

La lecture est difficile de par cette alternance entre souvenirs et interrogations. C’est cruel, c’est même perfide et pourtant c’est une réalité… Beaucoup de thèmes de société sont abordés : la mort, l’amour, le sida, l’homosexualité, la religion…

Je peux difficilement dire que c’est un coup de cœur. Mais c’est une lecture qui m’a bousculé. Comme je l’ai dit plus haut, on aime ou on s’arrête en cours de route. Pour ma part, je n’ai pas réussi à lâcher le livre avant sa fin. Un mot résume ma lecture : troublant.

À vous de vous faire votre propre avis.

 

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Genre: drame psychologique, historique, maladie, religion, traumatismes du passé
Série: 10 X 18 |

Willowra par Kadyan

Synopsis:

Willowra fait partie de l’histoire de Gabrielle. Le grand domaine familial de l’arrière-pays australien a été son royaume avant que son homosexualité ne la pousse à le fuir, laissant derrière elle son frère et ses parents pour se réfugier à Sydney. Des années plus tard, alors qu’elle vit avec sa compagne Tess, elle se voit obligée d’y retourner. Ce départ coïncide avec les premières difficultés que les deux jeunes femmes rencontrent dans leur couple. Gabrielle craint de ne pouvoir affronter les changements qui vont bientôt affecter leur vie. C’est donc avec réticence qu’elle accepte la dernière volonté de sa grand-mère Victoria, mourante, réclame la présence des siens auprès d’elle. Elle veut leur dévoiler certains secrets qu’elle a jusqu’ici jalousement gardés. Gabrielle va alors découvrir l’histoire surprenante et exceptionnelle de sa famille au fil des vies de Jason, de Maggie et de Victoria, l’histoire de Willowra.

Mon avis :

Quand nous faisons la connaissance de Gabrielle, celle-ci est dans une situation difficile. En couple avec Tess, elle a tout pour être heureuse : une bonne situation, une relation idyllique et un bébé en route.
Mais voilà, l’arrivée de ce dernier fait rejaillir ses plus profondes peurs, ses échecs envers sa famille. Famille qu’elle a fuie depuis tant d’années, car ils étaient incapables de l’accepter tel qu’elle est. L’arrivée de ce petit être dans sa vie fait que tout est remis en question. Le destin va s’imposer à elle et va la forcer à retourner à Willowra. Un dernier souhait ne peut être ignoré quand il est émis par une personne à laquelle on tient. C’est donc avec de l’appréhension qu’elle retourne sur les traces de son passé…

Mais si c’était elle qui se fourvoyait ? Ne juge-t-elle pas trop vite sur des apparences ? Ne s’est-elle pas totalement trompée ?

Ce qui devait être qu’un simple voyage pour soutenir une grand-mère sur son lit de mort va devenir un moment hors du temps. Un moment où les secrets de famille vont être mis en lumière. Willowra n’est pas qu’un simple bout de terre dans un endroit perdu dans la cambrousse. C’est avant tout l’héritage d’une famille.

Kadyan nous propose à travers cette fabuleuse confession, un partage, mais aussi et avant tout une transmission. L’évolution de ces générations de femmes qui malgré les préjugés, on réussit à construire leur famille. On découvre le prix de ce désir si simple et pourtant impensable…
On retrace la condition des femmes à travers les générations. Tout démarre avec Jason, l’arrière-grand-père de Gab. On nous retrace un pan de l’Histoire, celle de ces femmes et de leur condition au début du siècle dernier.

C’est un magnifique travail de mémoire que Kadyan nous offre, nous montrant que malgré les préjugés, l’amour reste l’amour et que rien ne peut changer cela. Beaucoup se seront battues pour arriver à vivre ouvertement cet amour aujourd’hui. Ce qui hier était impensable, inacceptable est aujourd’hui quelque chose de commun, de beau. On ose, on se montre et on ne fait plus attention aux qu’en dira-t-on…
Willowra n’est pas que de simples terres perdues dans cette Australie-Occidentale, où la population n’est que préjugés et homophobie.

Les apparences sont souvent trompeuses. Beaucoup de secrets sont restés enfouis au fil des ans… Des non-dits jusqu’à ce jour. On ressent que cela soit du côté de Gabrielle ou de sa famille ce sentiment de gâchis, ce regret qui nous poursuit tout au long de cette lecture. Le poids des non-dits, ce manque de communication, cet échec de ne pas oser, ce manque de confiance… Tout n’est que regrets. Mais cela n’est en rien pesant. Le regret amène au questionnement, à cette envie de réparer ce qui a été cassé. C’est une histoire intime, celle d’une enfant qui se réconcilie avec sa famille. Car Willowra est aussi et avant tout l’histoire de femmes insoumises, des femmes qui font de leur rêve une réalité aimée librement. Tout n’est qu’ambivalence entre cette envie de vivre librement son amour et ce goût d’amertume face aux conséquences de ce choix sur notre vie, mais aussi celle des autres. On souffre avec elles, on se réjouit pour elles. Tout n’est que sentiments. Des sentiments sans demi-teinte. Kadyan n’enjolive rien sans pour autant noircir à l’excès. C’est juste, c’est réaliste, c’est une confession que l’on découvre en même temps que Gabrielle.

On devient à notre tour spectateur, se languissant de voir l’évolution, l’appréhension des péripéties… Voilà ce qu’est Willowra : un instant de partage, une histoire d’acceptation de soi, sans restriction, sans préjugés.

C’est en cela que cette histoire prend une tout autre dimension. On devient un tout, on nous accueille et à notre tour, nous ressentons une certaine appartenance à cette famille atypique et pourtant si touchante. Une histoire qui au fil de la lecture devient un véritable coup de cœur.

 

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Genre: amitié / amour, au delà des apparences, choc des cultures, dépaysement, faux semblants, historique, homoparentalité, homophobie
Série: Homoromance éditions |

Lettres oubliées par Kim Fielding

Synopsis:

William, en instance de divorce, arrive à l’Asile d’Aliénés de Jelley’s Valley pour en devenir le gardien. Il a bien l’intention de faire le point sur sa vie, finir sa thèse et découvrir quel homme il peut être ; l’hétérosexualité a été un échec, mais l’homosexualité n’a jamais été une possibilité. Jusqu’à ce qu’il tombe, en faisant sa ronde, sur une boite en fer contenant des lettres ignorées du monde depuis plus d’un demi-siècle. Elles ont été écrites par Bill, jeune homme interné soixante-dix ans plus tôt, à une époque où l’homosexualité est une maladie qui doit être soignée par tous les moyens. De lettre en lettre, William découvre Bill, sa force, son courage, ses épreuves. De ces témoignages et sa rencontre avec Colby, gay, lumineux, ouvert et profondément gentil, il tire la force de faire la paix avec lui-même. Le bonheur semble enfin à portée de main. Ils doivent simplement se laisser une chance.

 

Mon avis:

Voici une romance qui nous prend aux tripes, littéralement. Plus qu’un coup de cœur, ce roman est juste magistral! L’auteur nous fait un parallèle entre deux hommes homosexuels que quarante années séparent.

L’un vient dans les années 30. On découvre les conditions des homosexuels à une époque où l’on pensait qu’ils avaient une maladie mentale… On découvre la triste réalité sur les thérapies de conversions. Rien ne nous est épargné. Le rejet, la douleur, la monstruosité que des hommes faisaient subir à d’autres car ils avaient le malheur d’aimer la mauvaise personne.

L’autre est un homme vivant à notre époque. Lui aussi a vécu une thérapie de conversion mais celle-ci est dirigée par l’église. On découvre les traumatismes psychologique et physique qui poursuivent ses personnes tout au long de leur vie.

Un parallèle très prenant, où l’expérience et la souffrance endurée permet à l’autre de s’accepter.

Ce livre est un devoir de mémoire. L’auteur nous montre que les droits des homosexuels ont évolué. Certes tout n’est pas parfait mais beaucoup de chemin a été parcouru. Mais il est aussi important de ne pas ceux qui se sont battus pour que les générations à venir puissent vivre comme tout à chacun. Un roman historique qui vous marque à vie. Une superbe leçon d’histoire et d’acceptation.

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Genre: drame psychologique, historique, thérapies de conversions
Série: Juno Publishing |

T’aimer et résister par Alexia Damyl

29Synopsis:

Anne avait quatorze ans lorsque son chemin croisa celui de Bérangère qui en avait seize. Immédiatement, les deux adolescentes devinrent inséparables, mais nous étions en 1939 et la Seconde Guerre mondiale ne tarda pas à frapper la France de plein fouet. Plus de soixante millions de personnes furent tuées à travers le monde. L’histoire d’amour naissant entre les deux jeunes femmes n’échappa malheureusement pas aux conséquences désastreuses de cette sombre période de l’Histoire.

Mon avis:

Cette nouvelle est un instant volé d’une confession d’une grand-mère à sa petite fille…

Nous sommes en juillet 1939, une autre vie que celle que nous connaissons aujourd’hui… Un air de liberté et de petits bonheurs du quotidien.

Alexia nous retrace avec beaucoup de justesse les confidences de cette femme alors jeune campagnarde de 14 ans, dont on préserve son insouciance en plein conflit… Elle qui va découvrir que l’amour peut apparaître sous les formes d’une amie chère à son cœur … Un amour aussi fort qu’impossible… Un amour interdit.

On devient à notre tour cet enfant qui découvre que son aînée a connu un premier émoi plein de tendresse… On pourrait paraître choqué, mais au contraire… Ce qui devrait être tabou devient quelque chose de beau. Les mots posés sont telle une poésie… Simple et innocent. Un amour de deux jeunes demoiselles qui découvrent le désir, les premiers émois, les premiers sentiments amoureux…

En parallèle de cette parenthèse enchantée, la réalité de la guerre va les rattraper… Cette France divisée, cette peur de l’ennemi, cette insécurité constante… Puis l’enfer de l’occupation, de cette perte de liberté, celle de devoir être constamment sur ses gardes … Tout en décidant envers et contre tout de continuer à vivre cet amour interdit… Et enfin cette libération si attendue, si désirée, celle où l’on se permet de croire de nouveau à la vie, mais … Les esprits étaient trop marqués… Où les morts et leurs dévotions sont trahis par les vivants …

Comment se reconstruire après de telles épreuves ? Comment avancer alors que nous ne sommes plus que l’ombre de nous-même, sans plus aucune croyance en l’humanité… Là sont les questions qui sont posées par l’auteure, ces vérités qui dérangent…

T’aimer et résister résume à lui seul ce bout d’Histoire, celle qui nous toutes communes… Celle d’hommes et de femmes se battant pour leur liberté… Cette volonté de s’affranchir, se battant pour pouvoir vivre et aimer librement… Une histoire qui débute à l’aube de la Seconde Guerre mondiale et qui continue dans le temps, retraçant ce combat à jamais gravé et résonnant encore aujourd’hui de celui de cette femme militant pour un amour libre.

Plus qu’une romance, c’est un devoir de mémoire où les larmes coulent et cela dès le premier chapitre, car même si nous ne connaissons pas la suite, l’Histoire elle est ancrée en chacun d’entre nous…

Bravo et merci pour cette lecture oh combien juste… Et encore et toujours d’actualité.

Un bijou à lire avec une énorme boîte de mouchoirs à côté…

 

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Genre: au delà des apparences, historique, survivants, traumatismes du passé
Série: Homoromance éditions |

Jour de colère: Vivre avec la culpabilité par Eric CHAUVIN

Synopsis:

Maxime, un jeune garçon de 15 ans déjà fragilisé par un deuil familial, voit sa vie basculer à tout jamais à cause d’une bêtise irréversible. Une erreur de jeunesse qui l’oblige à fuir son village et à espérer qu’on ne le retrouve jamais. Alexis, son meilleur ami de toujours, tourmenté par d’autres souffrances plus intimes, tente pourtant de le raisonner de toutes ses forces. Mais la colère, bien différente soit-elle pour les deux garçons, ne cesse de croître en eux et les pousse irrémédiablement vers un avenir encore plus tumultueux.

Mon avis:

Jour de colère ou Dies Irae. Tout ce résumé à ce titre. Un jour de deuil qui en réalité est un jour de colère, un jour où on extériorise tout ce que l’on ressent face à cet abandon. L’histoire débute sur un homme adulte en recherche de rédemption. Un lourd traumatisme pèse sur lui et cela rejaillit sur son quotidien et son entourage.

Rien ne nous est dévoilé de prime abord. Tout n’est que ressentiment, culpabilité, peur d’avouer cette vérité qui, on le devine, va changer le cours de son existence ainsi que celle de son entourage à son égard. L’utilisation du « je » nous permet de nous immerger dans cette confidence.

Nous découvrons que ce traumatisme s’est déroulé 16 ans plus tôt, en 1982. Maxime nous met en garde, ce jour va être le dernier de son innocence. En réalité, ce jour de colère a débuté plus tôt. À 13 ans il connaît un premier jour de colère. Il perd tragiquement son frère. En plus de son deuil, il doit faire face à celui de ses parents qui ne font que le rabaisser face à l’ombre de ce frère parfait défunt et lui, le cadet, survivant et insignifiant. On découvre un adolescent qui joue sur les apparences pour cacher son mal-être face à la perte.

Les confidences de Maxime retracent les déboires d’un adolescent en recherche d’affection, de reconnaissance suite au traumatisme de la perte de son frère. Un jeune homme en perdition qui préfèrera fuir que subir un nouveau drame à son entourage. Malheureusement, tout acte a des conséquences… Et celles-ci seront dramatiques.

L’histoire se déroule lentement. Au départ on se questionne sur l’aboutissement. Ce n’est qu’à la toute fin que le dénouement nous est révélé et quel dénouement. Les larmes montent et coulent sans qu’on puisse les arrêter. Et nous nous mettons à ressentir à notre tour toute cette colère.

C’est un roman noir, un drame dans toute sa splendeur. L’auteur nous bouleverse par ces vérités qu’on n’ose pas exprimer de peur d’être jugé, rejeté. Précisons que l’année où se déroule le drame joue énormément sur l’histoire et les sentiments troublants de Maxime. Une lecture qui marque, une lecture qui laisse des traces.

 

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Genre: amitié / amour, drame psychologique, historique, homophobie, traumatismes du passé
Série: Homoromance éditions |

Marginal par Marie SEXTON

Mon synopsis :

C’est une histoire d’amour qui, avant même d’avoir commencé, est déjà condamnée par les préjugés et le fléau du Sida.

Nous sommes en 1986, dans la petite ville Warren dans le Wyoming, touchée par le chômage et les préjugés.

Nate, originaire du Texas, se voit déménager de force suite au divorce de ses parents, avec son père dans cette ville où il n’a aucun repères, aucun amis. Sauf un, Cody.

Cody, ce jeune homme, étudiant dans le même lycée que Nate mais qui est catalogué. Être gay et pauvre ne peut que desservir l’image du jeune homme. Pourtant, Nate ne va pas s’arrêter aux apparences, et va apprendre à le connaître.

Une amitié va naître qui va bientôt se transformer en sentiments plus profond. Mais face à l’espoir d’être ensemble, ils vont devoir faire face aux obstacles qui se dressent face à cet amour.

Malgré les pressions extérieures, malgré les stéréotypes, malgré le manque total d’informations sur la prévention du SIDA, ils ne souhaitent qu’une chose, avoir une vie comme toutes personnes amoureuses : être ensemble, pouvoir danser comme un couple.

Comment lutter pour une histoire d’amour quand tant d’obstacles se présentent ? Arriveront-ils à les dépasser ?

 

Mon avis :

Marginal est pour moi, un réel témoignage sur le manque de prévention et l’ignorance des gens sur cette maladie qu’est le SIDA. Face à l’ignorance, on ne peut porter que des préjugés qui aujourd’hui à notre époque nous font bondir ! Mais en 1986, les avancées sur cette maladie ne faisaient que commencer et la communication sur le sujet est quasi nul. Ce roman nous explique les peurs et l’ignorance de ces jeunes, la difficulté d’acceptation face à leurs sentiments et leur entourage.

Un roman poignant, plus que touchant, un récit bouleversant.

 

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Genre: historique, romance young adult
Série: MxM BOOKMARK Young Adult |

A l’ombre de nos secrets par Lily HAIME

Mon synopsis:

On fait la connaissance de Julien, un homme de 91 ans, vivant en Amérique, lors d’une réunion de famille. Personne ne connaît le passé de Julien. Mais ce jour là, il décide de partager ses souvenirs et raconter son histoire.

 

En 1941, Julien à 19 ans. Il gère du domaine familiale dans la région bordelaise, occupé par les allemands. Ce jeune homme idéaliste est prêt à tout pour protéger sa famille, au point de rentrer dans la résistance, sous l’œil des officiers allemands.

Cette armée, ces officiers, ne sont pas tendre avec eux. Mais l’Ennemi à plusieurs visages. Celui de Engel, ne le laisse pas indifférent. Hors, au début du siècle dernier, être homophobe est qualifié de maladie mentale. Mais l’attirance qu’on ces deux hommes l’un pour l’autre va être plus forte que le danger qui les entours.

Comment un français résistant et un soldat allemand peuvent-ils être attirés, avoir des sentiments l’un envers l’autre?

Nous allons suivre leur relation interdite, tumultueuse dans ce contexte horrible qu’est la seconde guerre mondiale et les génocides qu’elle a engendrée; dans un contexte fait de préjugés; pour acquérir cette liberté tant désirée.

 

Mon avis:

Lily HAIME signe, à mon avis, un réel chef d’oeuvre qui est un témoignage plus que parlant sur ces années sombres de notre Histoire. Elle assimile à cette romance des faits historique qui se sont réellement passés. Un récit plus que poignant, on ne peut sortir indifférent.

Époustouflant! Plus qu’un coup de cœur, un chef d’oeuvre.

 

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Genre: historique
Série: Milady Emma |