Synopsis:
La bouche impertinente de Jake Manning lui vaut souvent des ennuis. À cause d’elle, il n’arrive pas à garder un emploi. Combiné avec un peu de malchance, elle l’empêche d’avoir un emploi stable. Une énorme dette pèse sur lui et il doit en plus prendre soin de sa mère alcoolique et de ses trois plus jeunes sœurs. Quand un emploi de femme de ménage se présente, Jake est tellement désespéré qu’il saute sur l’occasion. À l’arrivée, il trouve son nouveau patron, Patrick Stanford, un homme pointilleux, arrogant, grossier… et… aveugle.
Né aveugle, Patrick est habitué à être obéi, mais il rencontre son adversaire avec Jake qui ne tient aucun cas de tous ses ordres et menace de changer toutes les étiquettes en braille sur ses produits d’épicerie et de partir en courant avec son chien-guide d’aveugle s’il ne se comporte pas mieux.
Jake adore Patrick. Les choses commencent à s’éclaircir : les filles commencent leur propre vie et sa mère pourrait vraiment arrêter de boire, cette fois. Il a tout sacrifié pour sa famille, peut-être qu’il est temps maintenant de vivre sa vie et d’entamer une relation avec Patrick. Quand sa mère a besoin de lui, il se sent coupable et il a du mal à choisir entre sa famille et Patrick. Jake doit se rendre compte qu’il n’est plus seul.
Mon avis:
Cette histoire me laisse mitigée. J’avoue qu’elle m’a plu mais le fait qu’une personne handicapée soit « cataloguée » d’un assisté me dérange profondément. En effet, toutes personnes étant atteint de cécité ou autre handicap ne souhaite qu’une chose, l’autonomie. Oui, l’auteure veut faire passer le message qu’il faut voir au-delà des apparences, du handicap mais pas en donnant cette image d’assisté. Je pense que la romance prend le dessus sur la réalité des faits et du quotidien d’un aveugle. La relation entre les deux hommes est pourtant très belle et fait rêvée mais pas au détriment d’un sujet tel que le handicap et la gestion de celui-ci. C’est une romance pure, certes très agréable à lire mais peut être trop romancée.
NB il ne se vend plus qu’en VO.